Ingres 1780-1867

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Son oeuvre picturale se caractérise par une diversité de style, alliant le réalisme descriptif des flamands, la symétrie de Raphaël, et l´ambiguïté sophistiquée des maniéristes, pourtant il se voulait le propagateur de l’idéal classique. Il considérait le dessin comme supérieur à la couleur.
Cette contradiction a fait de sa peinture la base de l´académisme du 19è siècle, mais aussi des avant-gardes.
La Grande Odalisque (1814) est une commande de la sœur de Napoléon, qui se place dans la tradition de la Vénus d´Urbino de Titien. La figure se place entre une langueur orientale et des points d´extrême tension, sa tête est droite et sa peau semblable à du marbre. On doit noter les trois vertèbres de trop, qui mettent en avant la volonté d´Ingres de faire du beau sans se soucier du réalisme.
Sensuelle et universelle sont les deux épithètes qui explicitent le mieux les intentions de La Grande Odalisque Henri Focillon constatait qu’Ingres chérissait moins son Odalisque pour la qualité de sa chair, pour l’éclat de son épiderme (…), que parce que son corps est un rythme vivant.
La Grande Odalisque incarne « la » femme, telle que la voyaient les poètes du 19ème siècle, « muse vénale », aussi infernale que divine, inspirant à Baudelaire ces mots qui s’identifient parfaitement aux intentions esthétiques intimes d’Ingres : « rythme, parfum, lueur… ».
Cette contradiction a fait de sa peinture la base de l´académisme du 19è siècle, mais aussi des avant-gardes.
La Grande Odalisque (1814) est une commande de la sœur de Napoléon, qui se place dans la tradition de la Vénus d´Urbino de Titien. La figure se place entre une langueur orientale et des points d´extrême tension, sa tête est droite et sa peau semblable à du marbre. On doit noter les trois vertèbres de trop, qui mettent en avant la volonté d´Ingres de faire du beau sans se soucier du réalisme.
Sensuelle et universelle sont les deux épithètes qui explicitent le mieux les intentions de La Grande Odalisque Henri Focillon constatait qu’Ingres chérissait moins son Odalisque pour la qualité de sa chair, pour l’éclat de son épiderme (…), que parce que son corps est un rythme vivant.
La Grande Odalisque incarne « la » femme, telle que la voyaient les poètes du 19ème siècle, « muse vénale », aussi infernale que divine, inspirant à Baudelaire ces mots qui s’identifient parfaitement aux intentions esthétiques intimes d’Ingres : « rythme, parfum, lueur… ».