Les mémoralistes d´Ancien Régime à la découverte de l´étranger (X

Les mémoralistes d´Ancien Régime à la découverte de l´étranger (X
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Comment les mémorialistes français d´Ancien Régime représentent-ils l´étranger ? L´étranger proche (européen), l´étranger lointain ? Du fait de leur naissance et de leurs responsabilités, les mémorialistes pendant ces trois siècles ont vocation toute particulière à découvrir les pays étrangers, leurs cultures et leurs coutumes, et à dire plus tard avec le recul du temps leur étonnement, leur émerveillement, ou encore leur effroi.
L´étranger est en effet entouré de préjugés, de stéréotypes, dans une Europe autrement plus sédentaire et culturellement morcelée que de nos jours ; il éveille aussi la curiosité, comme en témoigne la mode grandissante du voyage au XVIIIe siècle. Une quinzaine de spécialistes analysent ici l´image de l´étranger qu´offrent des mémorialistes divers, hommes ou femmes, diplomates ou princesses, aventuriers ou exilés, et montrent l´infinie richesse de leurs écrits : la découverte de l´autre ne les laisse jamais indemnes, révèle des facettes insoupçonnées de leur identité, élargit leur imaginaire, leur regard critique sur le pays natal.
Cette suite d´études offre en outre, à côté de textes canoniques (Chateaubriand), la découverte de textes peu étudiés, dus entre autres à la plume de Marguerite de Valois, à celle de Catherine II (écrivain français méconnu), à celle des soeurs Mancini, de Casanova, du prince de Ligne, de la protestante exilée Mme du Noyer, de la légitimiste émigrée Mme de La Tour du Pin.
L´étranger est en effet entouré de préjugés, de stéréotypes, dans une Europe autrement plus sédentaire et culturellement morcelée que de nos jours ; il éveille aussi la curiosité, comme en témoigne la mode grandissante du voyage au XVIIIe siècle. Une quinzaine de spécialistes analysent ici l´image de l´étranger qu´offrent des mémorialistes divers, hommes ou femmes, diplomates ou princesses, aventuriers ou exilés, et montrent l´infinie richesse de leurs écrits : la découverte de l´autre ne les laisse jamais indemnes, révèle des facettes insoupçonnées de leur identité, élargit leur imaginaire, leur regard critique sur le pays natal.
Cette suite d´études offre en outre, à côté de textes canoniques (Chateaubriand), la découverte de textes peu étudiés, dus entre autres à la plume de Marguerite de Valois, à celle de Catherine II (écrivain français méconnu), à celle des soeurs Mancini, de Casanova, du prince de Ligne, de la protestante exilée Mme du Noyer, de la légitimiste émigrée Mme de La Tour du Pin.