Eloge de la mobilité: des congés payés à l´Internet

Eloge de la mobilité: des congés payés à l´Internet
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L´auteur explore les conséquences de la mobilité généralisée sur la façon de vivre dans la société contemporaine et sur les liens sociaux. Selon lui, les normes et les valeurs construites pour occuper le temps libre croissant sont en train de devenir les bases de la culture collective, bousculant les liens sociaux et politiques.
Soixante-dix ans après 1936, nos sociétés - encore largement sédentaires à l´époque - sont devenues hypermobiles. Chacun parcourt aujourd´hui 45 kilomètres par jour en moyenne, la majorité des gens partent en vacances, 50 000 retraités quittent Paris chaque année ; et que dire des mobilités virtuelles, TV, portable, internet…? Cet essai explore les conséquences de cette mobilité généralisée aussi bien sur nos façons de vivre, sur nos liens sociaux, nos espérances, nos angoisses de solitude. Pour l´auteur, la mobilité est devenue une nouvelle culture. Contenu du livre : En un demi-siècle, nous sommes passés d´un espace-temps à un autre. Tel est l´argument très étayé de cet essai. La vie s´est allongée de 100 000 heures, la durée du travail (hors chômage !) a diminué de près de 50 %, les kilomètres parcourus se sont multipliés par 9, l´exclusion spatiale est devenue explosive (pensons aux banlieues). Pour l´auteur, la culture, les normes et les valeurs construites pour occuper nos temps libres croissants sont en train de devenir les bases de notre culture collective, bousculant les liens sociaux et politiques, remettant en cause la place centrale du travail, favorisant certaines régions au détriment d´autres. Alors que nous sommes dans une culture individuelle et mobile où chacun joue sans cesse avec l´absence et l´abstention. Zapping, divorce, déménagement, voyage, obsession du portable, JT, Internet forment un tout, avec de nouvelles solidarités privées, des exclusions féroces, une crise du collectif. Et d´extraordinaires libertés quand on accède au droit de choisir ses mobilités !
Soixante-dix ans après 1936, nos sociétés - encore largement sédentaires à l´époque - sont devenues hypermobiles. Chacun parcourt aujourd´hui 45 kilomètres par jour en moyenne, la majorité des gens partent en vacances, 50 000 retraités quittent Paris chaque année ; et que dire des mobilités virtuelles, TV, portable, internet…? Cet essai explore les conséquences de cette mobilité généralisée aussi bien sur nos façons de vivre, sur nos liens sociaux, nos espérances, nos angoisses de solitude. Pour l´auteur, la mobilité est devenue une nouvelle culture. Contenu du livre : En un demi-siècle, nous sommes passés d´un espace-temps à un autre. Tel est l´argument très étayé de cet essai. La vie s´est allongée de 100 000 heures, la durée du travail (hors chômage !) a diminué de près de 50 %, les kilomètres parcourus se sont multipliés par 9, l´exclusion spatiale est devenue explosive (pensons aux banlieues). Pour l´auteur, la culture, les normes et les valeurs construites pour occuper nos temps libres croissants sont en train de devenir les bases de notre culture collective, bousculant les liens sociaux et politiques, remettant en cause la place centrale du travail, favorisant certaines régions au détriment d´autres. Alors que nous sommes dans une culture individuelle et mobile où chacun joue sans cesse avec l´absence et l´abstention. Zapping, divorce, déménagement, voyage, obsession du portable, JT, Internet forment un tout, avec de nouvelles solidarités privées, des exclusions féroces, une crise du collectif. Et d´extraordinaires libertés quand on accède au droit de choisir ses mobilités !